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Interview de Rabah Houia, Les Voix du Gaou de Six Fours Les Plages
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Rabah HOUIA
Directeur du festival Les Voix du Gaou de Six Fours Les Plages
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Morgane L : Quels sont les atouts d’un festival tel que celui des Voix du Gaou ?
Rabah Houia : La chance qu’on a c’est d’avoir un festival très étendu, à partir de la dernière semaine de juillet avec dix soirs de spectacles et plusieurs concerts par soir, 2, 3 voire 4. Ce qui est important c’est que le festival soit un moment de fête et de rencontres entre le public et les artistes. On a un festival qui fait plaisir à plusieurs publics. Quand Sting est programmé par exemple, je suis ravi de voir qu’il y a des quinquagénaires ou des sexagénaires qui viennent avec leurs enfants et petits-enfants parfois passer la soirée ici, au Gaou.
Rabah Houia : La chance qu’on a c’est d’avoir un festival très étendu, à partir de la dernière semaine de juillet avec dix soirs de spectacles et plusieurs concerts par soir, 2, 3 voire 4. Ce qui est important c’est que le festival soit un moment de fête et de rencontres entre le public et les artistes. On a un festival qui fait plaisir à plusieurs publics. Quand Sting est programmé par exemple, je suis ravi de voir qu’il y a des quinquagénaires ou des sexagénaires qui viennent avec leurs enfants et petits-enfants parfois passer la soirée ici, au Gaou.
Combien de personnes travaillent sur un tel festival ?
On a environ 200 personnes, peut être plus sur certains grands concerts quand il faut accentuer sur la sécurité. Le Gaou c’est un cadre très particulier, c’est une île, il n’y a pas de barrières naturelles et les consignes ne sont pas les même que dans un Zénith par exemple. On est des spécialistes de l’équipement non durable alors que nous défendons le « développement durable ». C’est une énorme organisation. Ça me fait toujours penser à « Jour de fête » de Jacques Tati, on est dans le monde de l’éphémère, on arrive, on installe tout, on fait le spectacle puis on démonte tout. Mais c’est notre métier un peu comme les gens du cirque.
Propos recueillis par Morgane Las Dit Peisson pour Le Mensuel
Montage vidéo par Aurélien Didelot Retour aux interviews
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