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CRAZY – AaRON – Interview
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AaRON
Crazy Week interview
« La magie du Crazy Week,
c’est que ça se passe dans
un lieu atypique… »
c’est que ça se passe dans
un lieu atypique… »
AaRON
prépare le Crazy Week
Morgane L : On n’avait pas eu le temps d’en parler au Midem, pourquoi cet acronyme ?
Simon : C’est venu du prénom Aaron qui était écrit dans les toiles d’un artiste qui nous plaisait à tous les deux, Jean-Michel Basquiat et moi (moi je mettrais ca). .
On trouvait ça intéressant de prendre un morceau de l’univers de ce personnage – car c’est bel et bien un personnage – puis on a ouvert le nom sur une phrase « Artificial Animals Riding On Neverland ».?
C’était un clin d’oeil à l’esprit humain, le cerveau humain… dernière terre encore inexplorée. Nous ne sommes que des animaux artificiels qui chevauchons un pays imaginaire…
N’oublions pas qu’avant d’être un humain qui consomme, boit, travaille, paye des impôts, vit dans du béton etc., il y a cette capacité qu’on porte tous en soi, le rêve…
A deux vous avez créé un univers plus qu’un style…
Je crois qu’on s’inspire de la vie en général… Quand on est quelqu’un de créatif, on a ce besoin de digérer la vie et d’en faire quelque chose d’autre.
C’est juste notre façon d’enregistrer ce qu’imprime notre rétine !
Je crois qu’on s’inspire de la vie en général… Quand on est quelqu’un de créatif, on a ce besoin de digérer la vie et d’en faire quelque chose d’autre.
C’est juste notre façon d’enregistrer ce qu’imprime notre rétine !
Des influences artistiques…
Je cite souvent Boris Vian parce que je trouve que c’est quelqu’un de fantastique qui a réussi à s’inventer un propre monde, dans « L’écume des jours » par exemple.
Parmi les films, c’est, je pense, plus des oeuvres comme « Edouard aux mains d’argent » ou « Braveheart »…
Des films où il y a une espèce de matière que j’avais eu la sensation de ne pas avoir vu avant. Je recherche dans tous les domaines artistiques qu’ils me transportent de mon état physique à un ailleurs.
Je cite souvent Boris Vian parce que je trouve que c’est quelqu’un de fantastique qui a réussi à s’inventer un propre monde, dans « L’écume des jours » par exemple.
Parmi les films, c’est, je pense, plus des oeuvres comme « Edouard aux mains d’argent » ou « Braveheart »…
Des films où il y a une espèce de matière que j’avais eu la sensation de ne pas avoir vu avant. Je recherche dans tous les domaines artistiques qu’ils me transportent de mon état physique à un ailleurs.
Univers sombre…
C’est une écoute particulière à chacun, ça dépend des gens et des moments où ils l’écoutent. Je pense qu’il y a des moments lumineux…
Je crois que s’il y a de l’ombre, c’est qu’elle est portée par de la lumière et inversement… C’est une question d’équilibre.
C’est une écoute particulière à chacun, ça dépend des gens et des moments où ils l’écoutent. Je pense qu’il y a des moments lumineux…
Je crois que s’il y a de l’ombre, c’est qu’elle est portée par de la lumière et inversement… C’est une question d’équilibre.
Importance des jeux d’éclairage sur scène ?
Oui, c’est extrêmement important pour nous de ne pas mettre uniquement du bleu, du rouge, du jaune et trois spots ! (rires)
Sur scène, on pense qu’on peut apporter une autre forme de lecture à l’auditeur. La lumière est un élèment porteur d’émotion et si elle est en adéquation avec la musique, elle peut emmener les gens encore un peu plus loin. On travaille beaucoup sur le visuel en général.
Oui, c’est extrêmement important pour nous de ne pas mettre uniquement du bleu, du rouge, du jaune et trois spots ! (rires)
Sur scène, on pense qu’on peut apporter une autre forme de lecture à l’auditeur. La lumière est un élèment porteur d’émotion et si elle est en adéquation avec la musique, elle peut emmener les gens encore un peu plus loin. On travaille beaucoup sur le visuel en général.
Qu’apportera le festival ?
La magie du festival, c’est que ça se passe dans un lieu atypique et que ça conditionne les spectateurs avant même d’entendre la musique donc ça nous porte aussi…
La magie du festival, c’est que ça se passe dans un lieu atypique et que ça conditionne les spectateurs avant même d’entendre la musique donc ça nous porte aussi…
AaRON + Stéphane Brunello + Julian Perretta
23 juillet – 20h00 – Crazy Week ! ! ! – Théâtre de Verdure
Nice – 33€ la soirée – Réservation www.crazyweek.fr
Propos recueillis par Morgane Las Dit Peisson pour Le Mensuel
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