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Reportage sur Dralion du Cirque du Soleil pour Le Mensuel en 2013

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Dralion 

reportage 

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DRALION

PAR LE CIRQUE DU SOLEIL

 
  

  Interview de Julie Desmarais (attachée de presse), Michael Ocampo (coach) et Mark Shaub (directeur artistique)

 

 Après le succès d’Alegria l’an passé, c’est au tour de Dralion d’élire domicile à Nice pendant une dizaine de jours. Rendez-vous incontournable des familles, des passionnés de cirque et de prouesses ou tout simplement des admirateurs de grands spectacles, le Cirque du Soleil saura séduire une fois de plus toutes les tranches d’âges par la beauté de sa mise en scène, la richesse de ses costumes et la dextérité de ses acrobates.

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dralion-cirque-du-soleil-2013Morgane L. : Que raconte le spectacle Dralion ?
Mark Shaub :Dralion n’est pas une histoire avec à proprement parler un début, un milieu et ue fin, c’est plutôt l’histoire d’une rencontre entre l’ancienne tradition du Cirque de la Chine et de celle du Cirque du Soleil qui est qui marie plusieurs univers artistiques. C’est plus axé sur les symboles. Dralion est le fruit de la contraction de deux mots : «dragon», symbole par excellence de la Chine et «lion», symbole de l’Est.

Il y a quatre personnages principaux…
Oui, quatre personnages incarnés par des êtres humains qui eux représentent la terre, l’air, l’eau et le feu. Et c’est autour de ces quatre forces de la Nature que s’articulera tout le spectacle et c’est sur eux que reposeront la quiétude et l’équilibre.

De nombreux artistes travaillent sur ce spectacle ?
Il y a beaucoup de numéros et donc beaucoup d’artistes également, 54 au total, acrobates, musiciens, clowns et personnages confondus.

Comme Alegria l’an dernier, ce spectacle est lui aussi universel ?
Oui, on vient de le jouer au Venezuela, au Guatemala, puis nous irons en France et au Moyen Orient et tout le monde prend toujours autant de plaisir à le voir. Il n’y a pas de langue imposée alors chacun d’entre nous peut y voir ce qu’il souhaite, ce qu’il ressent. Depuis que je fais le Cirque du Soleil, je trouve que moins on est explicite, plus c’est universel, on laisse place à l’imaginaire.



Propos recueillis par Morgane Las Dit Peisson
Montage et prise de vue par Aurélien Didelot
Interview parue dans l’édition n°339 de Juillet / Août 2013

Dates de tournée ici

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