CINÉMA

Kad Merad en interview pour « Finalement », le nouveau film de Claude Lelouch

By  | 

« Ça restera sûrement un de mes plus beaux souvenirs !«  Kad Merad

 


Votre évènement n'apparaît pas dans l'agenda de notre appli ?

Soumettez-le nous GRATUITEMENT ici !


 

 

 

Compliqué, voire impossible à résumer sans le raconter intégralement, le 51ème long-métrage de Claude Lelouch (1er d’une trilogie) est si foisonnant qu’il n’a même pas de bande-annonce ! Criblé de références à l’œuvre du réalisateur (Itinéraire d’un enfant gâté, La bonne année ou L’aventure c’est l’aventure), Finalement nous invite à suivre les pérégrinations d’un homme qui semble avoir décidé d’abandonner ses proches pour partir, tel un vagabond, sur les routes de France. Si on ne peut pas vous révéler pourquoi, on peut en revanche vous affirmer que cette « fable musicale mise en vie par Claude Lelouch » est d’une beauté absolue. Kad Merad, inattendu et « finalement » si évident dans cette quête de sens, déploie un jeu profond et délicat sur une musique omniprésente et essentielle, signée Ibrahim Maalouf.

 

 


 

 

Kad Merad en interview pour Finalement, le nouveau film de Claude Lelouch

interview / cinéma / film / comédie dramatique / musical / romance

  • au cinéma le 13 novembre 2024
  • interview complète disponible à partir du 13 novembre 2024

 

 


 

 

Tourner avec une légende…

Kad Merad : J’adore être avec Claude Lelouch, alors cette tournée d’avant-premières est un cadeau ! C‘est un homme fabuleux et incroyablement simple bien qu’il soit un immense cinéaste connu dans le monde entier ! Il est une légende vivante… Qu’il m’ait offert un personnage aussi magnifique est un honneur. Finalement est un bon Lelouch, comme on dit ! (rires)

 

Lino est un rôle à part…

Oui, je pense que pour un rôle tel que celui-ci, il fallait que j’atteigne mes 60 ans, que j’aie une certaine expérience de la vie et du métier également. C’est essentiel d’être suffisamment « armé » pour pouvoir se confronter à toutes les situations comme c’est le cas dans ce type de cinéma. Chez Lelouch, il y a ce qui est écrit et ce qui est tourné. Ce n’est pas de l’impro, c’est de la liberté… C’est-à-dire qu’il laisse la caméra filmer quand la scène se termine, il repropose des choses et vous parle à l’oreille en vous conseillant de faire un peu différemment… En réalité, c’est totalement dirigé, il n’y a aucune improvisation, juste de la « surprise ». On n’est pas lâché dans la nature, on n’est jamais seul…

 

 

Une nouvelle facette de vous…

Jean Dujardin m’avait dit, avant de tourner, que je ne me reconnaîtrais pas, que je serais différent et que j’allais vivre un tournage à part… Il avait pleinement raison et ça restera sûrement un de mes plus beaux souvenirs ! Sa méthode de travail ne m’a pas poussé à incarner un rôle, mais à rencontrer un personnage.

 

© Propos recueillis par Morgane Las Dit Peisson au Pathé Nice pour Le Mensuel / Photos Léane Le Meur & Les Films 13

 

↵ Retour vers la rubrique « interview »

 

 

 

You must be logged in to post a comment Login