BONNES TABLES
Le Petit Beefbar à Nice : « Petit » resto mais costaud !
Le Petit Beefbar à Nice
bonnes tables / restaurant / gastronomie
- 11 rue Saint François de Paule / Nice / beefbar.com / 04 22 53 64 40
- Ouvert au déjeuner et au dîner du mardi au dimanche
- Entrées de 17 à 26€ / Viandes de 24 à 48€ (sauf « spéciales ») / Formule déjeuner à 29€ avec petite entrée et choix de 5 viandes
Le Petit Beefbar à Nice : « Petit » mais costaud
Né il y a presque 20 ans sur le port de Fontvieille à Monaco sous l’impulsion de Riccardo Giraudi, le premier Beefbar a d’emblée connu le succès avec ses viandes sélectionnées sur tous les continents et cuisinées avec soin. Aujourd’hui, près de 50 adresses dans le monde offrent l’excellence monégasque aux carnivores !
Et c’est à Nice, tout près de La Petite Maison, que vient d’ouvrir le dernier-né : un Petit Beefbar, une version « compacte » de la maison-mère. Créé en association avec Nicole Rubi, l’ancien Terre de truffes a été entièrement repensé par Cédric Capron et Amélie Maison d’Art dans un style brasserie chic : façade bleu profond, chaises bistrot en bois, banquettes moelleuses et nappes à grands carreaux.
Le Petit Beefbar à Nice : Une salle bistrot chic agréable
À table, les habitués des Beefbar seront en terrain connu : on vient ici pour la viande, mais quelle viande ! Bœuf de Kobe, Wagyu d’Australie, Black Angus d’Amérique ou grandes races européennes sont ici choyées comme elles le méritent par les équipes du chef Thierry Paludetto.
Le Petit Beefbar à Nice : Le jambon d’entrecôte et panettone grillé
En entrée, s’il n’y a qu’un choix à faire, c’est celui du jambon d’entrecôte : de fines tranches d’un bœuf maturé 45 jours, servies avec un tendre panettone salé et grillé… divin ! Mais on se régalera aussi avec la pizzetta à la truffe, les croquettes de bœuf moutarde à l’ancienne ou la salade César Umami, sauce miso et parmesan.
Le Petit Beefbar à Nice : Le steak sauce poivre
Black Angus et Wagyu se partagent les « entrecôtes d’exception » débitées en fondant, en cœur ou en double. On a bien aimé le « tigre qui pleure » – un filet de bœuf mariné au miel, gingembre et soja -, ainsi que le généreux onglet aux échalotes (un poil trop cuit à notre goût). La lasagne au bœuf de Kobe est une autre tentation, alors que le tartare à la praline interpelle… Toutes les viandes sont servies avec une délicieuse purée. Mais on se délectera aussi d’un simple steak frites accompagné, au choix, d’une sauce au poivre, BBQ spicy ou béarnaise. Pour leur part, les desserts restent très classiques avec barre chocolatée au caramel, flan pâtissier ou glaces maison.
La carte des vins navigue entre France et Italie, le service est agréable : voilà une belle nouvelle adresse dans le secteur de Saleya.
© Texte Christian Perrin pour Le Mensuel / Photo Christian Perrin
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