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Puggy Interview

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Puggy


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en interview 

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PUGGY

  
 
  
Crazy Week !!! Édition 2012

Puggy est un groupe pop rock qui a choisi la Belgique pour patrie alors qu’aucun de ses membres n’en est originaire. D’ailleurs, dès le début, leur aventure a pris des tournures d’histoires belges ! En effet, c’est suite à l’incendie d’un festival belge et à son annulation juste après la seule et unique 1ère partie (celle du jeune groupe Puggy alors inconnu) que les images de leur prestation (les seules de la soirée) seront diffusées en boucle à la télé ! Rapidement repérés, ils n’ont plus quitté le devrant de la scène ! Mais que ça n’aille pas vous donner des idées…
 

 

 Morgane L. : Tu seras sur scène le 21 juillet pour clôturer le festival Crazy Week !!! aux côtés de Roger Hodgson…
Matthew Irons : Oui ! Avec Egil et Romain, on a hâte d’y être ! Pour le soleil, la mer… (rires) mais aussi parce que l’on sait que l’on va passer une excellente
soirée, en très bonne compagnie ! Avec Roger Hodgson, on s’est croisé à plusieurs reprises et on a fini par se lier d’amitié.

Peux-tu revenir sur la naissance du groupe Puggy ?
Le groupe est composé de trois membres, le batteur, Egil qui est d’origine suédoise, le bassiste, Romain qui est français, et moi qui suis d’origine anglaise. Egil et Romain avaient déjà joué tous les deux dans d’autres groupes avant Puggy. Quand j’ai rencontré Romain à Anvers, dans une école de musique, on a tout de suite senti qu’il y avait eu un déclic, que l’on pouvait partager beaucoup de choses en apprenant à se compléter.
Le groupe s’est formé tout naturellement sans se poser de questions et sans vouloir avoir un style bien particulier. On a eu beaucoup de chance tous les trois de se trouver ! (rires) On avait la même vision de la musique et l’amitié n’a commencé qu’après nos rencontres, dans un local de répèt’…

Qui fait quoi ?
Ça a changé au fil du temps… Je venais souvent avec une idée de refrain par exemple et ensuite, tous ensemble, on choisissait les instruments, les accords et les mélodies. Sur le dernier album qui n’est pas encore sorti, j’ai vraiment eu besoin de m’enfermer pour écrire et pour créer mais après cette phase de solitude, on s’est retrouvé en studio. On est satisfaits du résultat car on a réussi a recréér le son qu’on avait en live. On grandit, on évolue ensemble et surtout on se laisse le temps de mûrir.

Votre musique est pop rock mais très douce à l’écoute, quelle est la recette ?
Je ne sais pas… La musique que l’on fait nous paraît être la plus naturelle. C’est peut-être lié au fait que l’on est très attentifs à la mélodie, au texte… L’accoustique aussi apporte plus de douceur… Et peut-être que c’est dû au fait que je ne crie pas tout le temps ! (rires)

Tu parles français à la perfection alors pourquoi ne chanter qu’en anglais ?
C’est mon environnement familier, donc ça vient bien plus naturellement pour moi. Pour pouvoir partager mes émotions, je me sens plus « moi » en anglais… C’est une façon de donner de la force à la musique, de croire en son texte… L’anglais m’aide à mieux « rendre » mes émotions.

Quels sont les messages de vos albums ?
Je ne suis pas quelqu’un de systématiquement heureux (rires) mais je prends beaucoup de plaisir ! L’album qui va sortir apporte un sentiment d’évasion mais aussi d’ironie face à la crise actuelle. Mais il n’est pas moqueur, il apporte juste un message positif honnête et sincère.
  

    
 Propos recueillis par Morgane Las Dit Peisson pour Le Mensuel
www.le-mensuel.fr

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